Blog4Burma : Anécdotas. Burma comic ’sent to remote jail’. Une bien maigre récolte, ce jour ; mais c’est mieux que rien …
Causes : fédération des maladies rares ; et bienvenue à Laurent D. !
Ca peut servir : A la découverte des RegionsJobCafés. Message perso : sous MIE, j’ai bien le Y de Yoolink ; mais sous Firefox, pas de T de Twitter. Je dis ça comme ça ; je ne me vexe pas 
Espace : La supernova de Tycho ; je ne connaissais que Les épaves de Tycho de Clifford D. Simak.
Avant censure : L’image, sans sa pareille photo ; et le titre, hien : le titre !
Age : La sexualité des vieux, tabou qui a la vie dure ; je laisse tomber l’autre partie du titre tant le mot est présent en spam dans au-moins une de mes mail-boxs … Mon côté Hermite me permettrait de ne pas m’inquiéter sur ce sujet ? …
En Corée : La grenouille internationale ! Il dit ça BlogIt-Express ? Avec des images ? …
Quatre mains : Cadrans solaires ; superbe collection !
Réalisation : Anamorphoses sur rue ; spectaculaire !
Photos : Papillon vole ! Je confirme ! L’horticultrice itinérante ; pour attirer le papillon ! Pause fleurie ; avec Denise et toujours pour le papillon. Balade fleurie à Bora ; je vais finir par l’avoir ce papillon ! …
Poésie : L’adieu aux larmes. Lierre, lianes, liens. Haïku.
Musiques : Marc-Antoine Carpentier ; c’est la faute à Michèle … Janis Joplin chante Me and BobbyMcGee ; 1970, juste avant de disparaître, la même année que Hendrix. Dans mon année californienne … Johnny Cash : Cocaïne ; vous pouvez aussi lire l’article avant que quelqu’un clic sur Alerter (.) Louis Sclavis Quintet ; dans un formidable kiosque à musique. Et pour le titre : Dick Rivers ; medley dont les vo sont bien meilleurs, mais, les rechercher … Et puis : je n’allais pas, après le titre d’hier, me contenter d’un Let’s Twitte again (Richard Anthony). On est d’accord : aïe, aïe, aïe …
vi vi olivier il le dit blogit…quand tu vas dessus, tu cliques sur les liens qu’il te met (tes visiteurs) et des fois tu tombes sur une recherche Googlemonautreami et tu arrives sur une page traduite !!!
et oui que veux tu….la grenouille est internationale…à moins que ça se mange les cuisses de grenouilles en Corée
bises
oka
Encore merci Olivier d’avoir fait le lien dans votre blog pour mes photos chez Lali.
J’aime bien venir chez vous pour y lire l’actualité.
Bien amicalement et bonne soirée,
Denise
Mais oui, tu vas finir par attraper un papillon !
Quant à Twitter…. encore un truc qu’il va falloir que j’apprenne en rentrant, un de plus.
Amitiés.
Je lis tous les jours et me régale
Merci pour tout
Oka, profites-en pour trouver Dooliblog colonne de droite
Bon, en fait, c’était aussi du sourire : les statistiques disent ça aussi et j’écrivais, il n’y a pas si longtemps, que j’étais lu sur 4 continents sur 5 ; manque l’Australie …
C’est et sera toujours un plaisir, Denise ! Merci de passer et de laisser des mots gentils !
Annie-Claude : laisses-moi dire une bêtise. Twitter me fait penser à un mélange de Facebook et de Netvibes. Je ne regrette pas, lors, d’avoir fini par accepter d’y aller. A bientôt !
JC : comme c’est agréable, merci ! Ce soir ce sera ce que moi j’appelle « une pensée profonde » et non pas une c……
Tu dis : « c’est la faute à Michèle »
Moi je pense et dis :
(:
« On est laid à Nanterre,
C’est la faute à Voltaire,
Et bête à Palaiseau,
C’est la faute à Rousseau.
Puis il ramassa son panier, y remit, sans en perdre une seule, les cartouches qui en étaient tombées, et, avançant vers la fusillade, alla dépouiller une autre giberne. Là une quatrième balle le manqua encore. Gavroche chanta :
Je ne suis pas notaire,
C’est la faute à Voltaire,
Je suis petit oiseau,
C’est la faute à Rousseau.
Une cinquième balle ne réussit qu’à tirer de lui un troisième couplet :
Joie est mon caractère,
C’est la faute à Voltaire,
Misère est mon trousseau,
C’est la faute à Rousseau.
Cela continua ainsi quelque temps.
Le spectacle était épouvantable et charmant. Gavroche fusillé, taquinait la fusillade. Il avait l’air de s’amuser beaucoup. C’était le moineau becquetant les chasseurs. Il répondait à chaque décharge par un couplet. On le visait sans cesse, on le manquait toujours. Les gardes nationaux et les soldats riaient en l’ajustant. Il se couchait, puis se redressait, s’effaçait dans un coin de porte, puis bondissait, disparaissait, reparaissait, se sauvait, revenait, ripostait à la mitraille par des pieds de nez, et cependant pillait les cartouches, vidait les gibernes et remplissait son panier. Les insurgés, haletants d’anxiété, le suivaient des yeux. La barricade tremblait ; lui, il chantait. Ce n’était pas un enfant, ce n’était pas un homme ; c’était un étrange gamin fée. On eût dit le nain invulnérable de la mêlée. Les balles couraient après lui, il était plus leste qu’elles. Il jouait on ne sait quel effrayant jeu de cache-cache avec la mort ; chaque fois que la face camarde du spectre s’approchait, le gamin lui donnait une pichenette.
Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l’enfant feu follet. On vit Gavroche chanceler, puis il s’affaissa. Toute la barricade poussa un cri ; mais il y avait de l’Antée dans ce pygmée ; pour le gamin toucher le pavé, c’est comme pour le géant toucher la terre ; Gavroche n’était tombé que pour se redresser ; il resta assis sur son séant, un long filet de sang rayait son visage, il éleva ses deux bras en l’air, regarda du côté d’où était venu le coup, et se mit à chanter :
Je suis tombé par terre,
C’est la faute à Voltaire,
Le nez dans le ruisseau,
C’est la faute à…
Il n’acheva point. Une seconde balle du même tireur l’arrêta court. Cette fois il s’abattit la face contre le pavé, et ne remua plus. Cette petite grande âme venait de s’envoler….. »
J’adore relire ce passage du Grand Victor Hugo.
Michèle : souviens-toi des longs commentaires avec du La Fontaine, au Monde et … pareil … Merci
OUI !
Je ne ferai plus maître .
Bon, j’essaierai de te faire un tuto
Gni, Mimi
As you like, Sammy !